La stabilisation d’un déchet, qui a pour objectif une rétention optimum de polluants par des réactions chimiques et/ou physiques, repose sur des procédés « froids » (mettant essentiellement en jeu des liants hydrauliques ou organiques, ainsi que différents réactifs) ou « chauds » comme la vitrification. Le résultat conduit de plus, du fait de la nature des procédés, à une solidification du déchet.